
Devant le port d'Al-Ramadi... Al-Karma est privé d'un but légitime !!
Ce qui s'est passé au stade d'Al-Ramadi hier soir n'était pas qu'une scène controversée, mais une plaie ouverte dans le corps du club d'Al-Karma qui estime que son grand projet footballistique est combattu de l'intérieur avant l'extérieur, et que son chemin vers une compétition équitable est semé d'embûches au lieu de soutien et d'équité.
Lors du match qui a opposé Al-Karma au port dans le cadre de la 31ème journée de la Ligue des étoiles d'Irak, qui s'est tenu sur le terrain d'Al-Karma et devant ses supporters, l'équipe a subi une défaite sur le score de 1-0, mais la controverse ne portait pas sur le résultat, mais sur le but valide "selon tout le monde" marqué par l'attaquant syrien Alaa Al-Din Dali, qui a été annulé pour hors-jeu dans une scène qui a suscité une tempête de colère et de mécontentement.
Le but est survenu à un moment crucial de la seconde mi-temps, après un effort collectif parfait, que Dali a conclu par un tir au fond des filets, provoquant l'explosion des tribunes d'Al-Ramadi de joie, avant que l'arbitre et son assistant n'interviennent en levant le drapeau et en annulant le but, une décision que de nombreux analystes ont qualifiée d'inexacte, d'autant plus que la rediffusion télévisée a montré que Dali était en position parfaitement légale au moment de recevoir le ballon.
Les réactions ne se sont pas fait attendre, la direction d'Al-Karma a publié une déclaration incendiaire affirmant que l'équipe était devenue une cible, et qu'il y avait des personnes travaillant à briser les ambitions du club qui représente un véritable projet de construction d'une équipe compétitive, stable sur le plan technique et administratif.
La direction a ajouté que ce qui s'est passé ne serait pas passé sous silence, et qu'elle prendrait les mesures juridiques nécessaires pour garantir que de tels incidents, qui privent les clubs de leurs droits légitimes sur le terrain, ne se reproduisent pas.
Les supporters, quant à eux, n'ont pas gardé le silence, les réseaux sociaux ont été inondés de vidéos montrant la validité du but, et les commentaires ont afflué demandant à la fédération de football de revoir l'arbitrage et de tenir responsables tous ceux qui portent préjudice aux clubs qui construisent et ne rachètent pas, qui s'efforcent et ne comptent pas sur les influences.
Ce qui s'est passé à Al-Ramadi n'était pas qu'une simple erreur d'arbitrage passagère, mais un nouvel épisode d'une série que les supporters d'Al-Karma estiment les cibler depuis le début de la saison, soulevant de nombreuses questions sur l'intégrité de certaines décisions qui ont eu un impact direct sur les résultats de l'équipe.
Alors que le football irakien s'efforce de se relever et d'évoluer, la justice reste la base qui ne peut être contournée, et tout projet footballistique qui ne bénéficie pas de protection contre les erreurs graves demeure menacé d'effondrement, peu importe la sincérité de ses intentions et la noblesse de ses objectifs.
Lors du match qui a opposé Al-Karma au port dans le cadre de la 31ème journée de la Ligue des étoiles d'Irak, qui s'est tenu sur le terrain d'Al-Karma et devant ses supporters, l'équipe a subi une défaite sur le score de 1-0, mais la controverse ne portait pas sur le résultat, mais sur le but valide "selon tout le monde" marqué par l'attaquant syrien Alaa Al-Din Dali, qui a été annulé pour hors-jeu dans une scène qui a suscité une tempête de colère et de mécontentement.
Le but est survenu à un moment crucial de la seconde mi-temps, après un effort collectif parfait, que Dali a conclu par un tir au fond des filets, provoquant l'explosion des tribunes d'Al-Ramadi de joie, avant que l'arbitre et son assistant n'interviennent en levant le drapeau et en annulant le but, une décision que de nombreux analystes ont qualifiée d'inexacte, d'autant plus que la rediffusion télévisée a montré que Dali était en position parfaitement légale au moment de recevoir le ballon.
Les réactions ne se sont pas fait attendre, la direction d'Al-Karma a publié une déclaration incendiaire affirmant que l'équipe était devenue une cible, et qu'il y avait des personnes travaillant à briser les ambitions du club qui représente un véritable projet de construction d'une équipe compétitive, stable sur le plan technique et administratif.
La direction a ajouté que ce qui s'est passé ne serait pas passé sous silence, et qu'elle prendrait les mesures juridiques nécessaires pour garantir que de tels incidents, qui privent les clubs de leurs droits légitimes sur le terrain, ne se reproduisent pas.
Les supporters, quant à eux, n'ont pas gardé le silence, les réseaux sociaux ont été inondés de vidéos montrant la validité du but, et les commentaires ont afflué demandant à la fédération de football de revoir l'arbitrage et de tenir responsables tous ceux qui portent préjudice aux clubs qui construisent et ne rachètent pas, qui s'efforcent et ne comptent pas sur les influences.
Ce qui s'est passé à Al-Ramadi n'était pas qu'une simple erreur d'arbitrage passagère, mais un nouvel épisode d'une série que les supporters d'Al-Karma estiment les cibler depuis le début de la saison, soulevant de nombreuses questions sur l'intégrité de certaines décisions qui ont eu un impact direct sur les résultats de l'équipe.
Alors que le football irakien s'efforce de se relever et d'évoluer, la justice reste la base qui ne peut être contournée, et tout projet footballistique qui ne bénéficie pas de protection contre les erreurs graves demeure menacé d'effondrement, peu importe la sincérité de ses intentions et la noblesse de ses objectifs.