Développement dans l'affaire du retrait d'Al-Hilal de la Supercoupe d'Arabie saoudite
L'affaire du retrait du club Al-Hilal de la Supercoupe d'Arabie saoudite a connu un développement notable, alors que le Centre d'arbitrage sportif a commencé à étudier la possibilité d'inclure les clubs Al-Ahli et Al-Qadsiah en tant que parties au litige en cours, dans l'affaire intentée par Al-Hilal contestant les décisions prises à son encontre.
Les origines de la crise remontent au refus d'Al Hilal de participer au tournoi du Super, justifié par la fatigue de ses joueurs après une saison éprouvante. Cela a conduit à la convocation d'Al Ahly pour prendre sa place, en plus de la prise de décisions et de sanctions par le comité de discipline à l'encontre du club bleu, avant de recourir par la suite au Centre d'arbitrage sportif.
La commission d'appel a annulé la décision de la commission de discipline, mais elle a considéré Al-Hilal perdant contre Al-Qadsiah sur le score de 3-0 lors de la demi-finale, tout en l'empêchant de poursuivre dans le tournoi. De plus, une amende de 500 000 riyals a été infligée, ainsi qu'une interdiction de percevoir tout revenu lié à la compétition, ce qui a poussé Al-Hilal à engager une procédure légale.
Selon ce qu'a révélé l'émission « Nadina » diffusée sur la chaîne MBC, le Centre d'arbitrage sportif étudie la demande du club Al-Qadsia de se joindre en tant que partie à l'affaire, en se basant sur la décision d'appel qui lui a accordé la victoire contre Al-Hilal et son droit de disputer directement la finale du Super. La source a également indiqué que le Centre examinera dans les prochains jours la demande d'Al-Hilal d'inclure le club Al-Ahli en tant que partie à l'affaire.
Dans le même contexte, le conseiller juridique Ahmed Al-Sheikhi a expliqué que l'implication d'Al-Ahli dans l'affaire ne constitue pas une option correcte d'un point de vue juridique, malgré l'accord du club à la demande d'Al-Hilal. Il a mis en garde contre le fait que l'acceptation de cette demande par le centre d'arbitrage pourrait ouvrir une porte juridique complexe difficile à refermer à l'avenir.
Les origines de la crise remontent au refus d'Al Hilal de participer au tournoi du Super, justifié par la fatigue de ses joueurs après une saison éprouvante. Cela a conduit à la convocation d'Al Ahly pour prendre sa place, en plus de la prise de décisions et de sanctions par le comité de discipline à l'encontre du club bleu, avant de recourir par la suite au Centre d'arbitrage sportif.
La commission d'appel a annulé la décision de la commission de discipline, mais elle a considéré Al-Hilal perdant contre Al-Qadsiah sur le score de 3-0 lors de la demi-finale, tout en l'empêchant de poursuivre dans le tournoi. De plus, une amende de 500 000 riyals a été infligée, ainsi qu'une interdiction de percevoir tout revenu lié à la compétition, ce qui a poussé Al-Hilal à engager une procédure légale.
Selon ce qu'a révélé l'émission « Nadina » diffusée sur la chaîne MBC, le Centre d'arbitrage sportif étudie la demande du club Al-Qadsia de se joindre en tant que partie à l'affaire, en se basant sur la décision d'appel qui lui a accordé la victoire contre Al-Hilal et son droit de disputer directement la finale du Super. La source a également indiqué que le Centre examinera dans les prochains jours la demande d'Al-Hilal d'inclure le club Al-Ahli en tant que partie à l'affaire.
Dans le même contexte, le conseiller juridique Ahmed Al-Sheikhi a expliqué que l'implication d'Al-Ahli dans l'affaire ne constitue pas une option correcte d'un point de vue juridique, malgré l'accord du club à la demande d'Al-Hilal. Il a mis en garde contre le fait que l'acceptation de cette demande par le centre d'arbitrage pourrait ouvrir une porte juridique complexe difficile à refermer à l'avenir.