Une fissure à Anfield... Salah entre l'ingratitude et la colère de l'entraîneur
Dans une saison où Liverpool traverse une période de confusion footballistique, ballotté par les vagues des défaites et les trébuchements des matchs nuls, il semblait que le club historique avait perdu sa solidité que les adversaires craignaient depuis toujours. Et au milieu de ce trouble ressemblant à un navire cherchant un port de salut lors d'une nuit orageuse, Mohamed Salah s'est retrouvé au cœur de la tempête.
Une légende marginalisée… et l'entraîneur renverse la table
Mohamed Salah, qui a conquis le cœur des supporters d'Anfield comme le soleil conquiert la lumière de l'aube, s'est soudainement retrouvé hors des plans ; l'entraîneur Jürgen Klopp, dans des décisions surprenantes, a laissé son meilleur buteur historique sur le banc pendant trois matchs consécutifs, comme si le problème de cette sombre saison résidait dans l'homme qui a porté l'équipe sur ses épaules pendant des années.
Et malgré cela, Klopp n'a apporté au club que deux matchs nuls et une seule victoire, ce qui a amplifié les questions :
Le problème vient-il de Salah ? Ou de celui qui tient la barre ?
Salah brise son silence… et en paie le prix
Après avoir été à bout de souffle face à la situation, Salah a fait une déclaration où sa colère transparaissait entre les lignes, disant :
"Il semble que quelqu'un ne veuille pas de moi au club, je ne comprends pas pourquoi je suis sur le banc, j'ai l'impression que le club m'ignore, on jette Salah sous le bus parce qu'il est le problème. Je ne crois pas que je sois le problème."
Cette déclaration a été comme une alerte, mais elle a irrité Klopp qui a répondu par une décision qui a fait du bruit :
L'exclusion de Salah de la liste pour le match contre l'Inter Milan en Ligue des Champions.
Comme si la direction et l'entraîneur traitaient Salah comme un enfant qui a osé parler, et non comme une légende qui a redonné au club sa grandeur à l'ère moderne.
L'Afrique attend le roi… et la réponse silencieuse pourrait être plus éloquente
Alors que la poussière vole à Merseyside, Mohamed Salah fait ses valises pour mener la sélection égyptienne à la Coupe d'Afrique des Nations. Un tournoi qui pourrait devenir une tribune où Salah élèvera sa voix sans dire un mot, car la victoire là-bas sera une réponse plus forte que toutes les déclarations.
Et s'il remporte le titre, ce sera comme dire au monde :
"Le problème n'est pas le roi, mais ceux qui ont voulu lui enlever son trône."
La vérité s'impose
Liverpool traverse aujourd'hui une phase de tension évidente, et il semble que la direction du club et son entraîneur Klopp aient oublié — ne serait-ce qu'un instant — que Mohamed Salah n'est pas simplement un joueur, mais un chapitre entier de l'histoire moderne du club.
Ils peuvent essayer de le présenter comme une partie du problème, mais les terrains africains pourraient réécrire l'histoire et révéler que le défaut n'a jamais été dans la star, mais dans ceux qui ont été incapables de l'exploiter.
Une légende marginalisée… et l'entraîneur renverse la table
Mohamed Salah, qui a conquis le cœur des supporters d'Anfield comme le soleil conquiert la lumière de l'aube, s'est soudainement retrouvé hors des plans ; l'entraîneur Jürgen Klopp, dans des décisions surprenantes, a laissé son meilleur buteur historique sur le banc pendant trois matchs consécutifs, comme si le problème de cette sombre saison résidait dans l'homme qui a porté l'équipe sur ses épaules pendant des années.
Et malgré cela, Klopp n'a apporté au club que deux matchs nuls et une seule victoire, ce qui a amplifié les questions :
Le problème vient-il de Salah ? Ou de celui qui tient la barre ?
Salah brise son silence… et en paie le prix
Après avoir été à bout de souffle face à la situation, Salah a fait une déclaration où sa colère transparaissait entre les lignes, disant :
"Il semble que quelqu'un ne veuille pas de moi au club, je ne comprends pas pourquoi je suis sur le banc, j'ai l'impression que le club m'ignore, on jette Salah sous le bus parce qu'il est le problème. Je ne crois pas que je sois le problème."
Cette déclaration a été comme une alerte, mais elle a irrité Klopp qui a répondu par une décision qui a fait du bruit :
L'exclusion de Salah de la liste pour le match contre l'Inter Milan en Ligue des Champions.
Comme si la direction et l'entraîneur traitaient Salah comme un enfant qui a osé parler, et non comme une légende qui a redonné au club sa grandeur à l'ère moderne.
L'Afrique attend le roi… et la réponse silencieuse pourrait être plus éloquente
Alors que la poussière vole à Merseyside, Mohamed Salah fait ses valises pour mener la sélection égyptienne à la Coupe d'Afrique des Nations. Un tournoi qui pourrait devenir une tribune où Salah élèvera sa voix sans dire un mot, car la victoire là-bas sera une réponse plus forte que toutes les déclarations.
Et s'il remporte le titre, ce sera comme dire au monde :
"Le problème n'est pas le roi, mais ceux qui ont voulu lui enlever son trône."
La vérité s'impose
Liverpool traverse aujourd'hui une phase de tension évidente, et il semble que la direction du club et son entraîneur Klopp aient oublié — ne serait-ce qu'un instant — que Mohamed Salah n'est pas simplement un joueur, mais un chapitre entier de l'histoire moderne du club.
Ils peuvent essayer de le présenter comme une partie du problème, mais les terrains africains pourraient réécrire l'histoire et révéler que le défaut n'a jamais été dans la star, mais dans ceux qui ont été incapables de l'exploiter.