Ce qui est arrivé à la star marocaine Achraf Hakimi hier était extrêmement regrettable, non seulement parce qu'il est l'un des noms les plus en vue du football mondial, mais aussi parce qu'il fait partie des rares joueurs qui apportent beaucoup de joie et d'attrait au jeu moderne.

Cependant, la tristesse au Maroc était double, car le public marocain reconnaît parfaitement la valeur d'Hakimi au sein de l'équipe nationale et compte sur lui comme l'un des piliers essentiels pour mener les "Lions de l'Atlas" vers la victoire lors de la prochaine Coupe d'Afrique.

Mais c'est le football, un sport qui comporte intrinsèquement un risque élevé de blessures, en raison de sa rapidité, des nombreux contacts physiques, et de l'intensité élevée des entraînements et des matchs. Ainsi, l'absence d'une star comme Hakimi d'un club ou d'une sélection nationale à un moment critique est devenue une situation courante dans le monde du ballon rond, et il est nécessaire de la gérer avec rationalité et rapidité pour trouver des alternatives possibles.

Selon les dernières nouvelles, Hakimi a subi ce matin des examens approfondis pour déterminer la nature de sa blessure de manière définitive, en attendant le rapport médical officiel qui précisera la durée de son absence sur le terrain.

Et si le latéral marocain parvient à participer à la Coupe d'Afrique des Nations, ce sera une bonne nouvelle pour tous les Marocains. En revanche, si son état nécessite une période de repos de plus de deux mois, la balle sera alors dans le camp de l'entraîneur Walid Regragui, qui devra trouver des solutions tactiques et des alternatives prêtes au sein du groupe actuel.

Dans de telles situations, la véritable compétence des formateurs est mise à l'épreuve, non pas lorsque les classes sont complètes, mais lorsque les circonstances imprévues obligent à rechercher à nouveau l'équilibre.