
Riyad Mazhar met en garde contre les contrats aléatoires avec des entraîneurs étrangers dans la Ligue irakienne
L'analyste sportif Riyad Mazhar met en garde contre la précipitation dans le recrutement d'entraîneurs étrangers dans la Ligue des étoiles d'Irak pour la saison 2025-2026, confirmant que toute décision de ce type doit être soigneusement réfléchie, et qu'il ne suffit pas que le nom soit accrocheur ou célèbre pour changer la réalité des équipes dans le championnat.
Mazhar a déclaré dans une interview dans le programme Temps additionnel : "Le recrutement d'un entraîneur étranger nécessite une étude complète. Il ne suffit pas que le nom soit connu ou ait une réputation à l'étranger, car la réalité dans la Ligue irakienne est complètement différente, et de nombreux facteurs influencent le succès ou l'échec de l'entraîneur, tels que la nature des joueurs, la gestion du club, et les conditions financières et techniques".
Il a ajouté : "Parfois, l'entraîneur étranger arrive et trouve un environnement qui ne l'aide pas à travailler, et par conséquent, il ne réalisera pas les résultats escomptés, ce qui peut avoir un impact négatif sur l'équipe et le championnat dans son ensemble. C'est pourquoi les clubs doivent être prudents et choisir leur entraîneur en fonction des exigences de la ligue et des conditions locales".
Mazhar a poursuivi : "Nous avons des exemples précédents dans la ligue où de grands noms ont changé, mais la performance ne s'est pas améliorée, car cela est lié à l'organisation et à la stabilité technique au sein de l'équipe, et pas seulement au nom brillant sur le papier".
L'analyste a confirmé que le succès de toute équipe dépend de l'équilibre entre l'expérience étrangère et la gestion locale, soulignant que le choix de l'entraîneur approprié doit tenir compte de la capacité à travailler avec des joueurs irakiens, à comprendre la nature de la ligue, tout en mettant en place des plans clairs pour obtenir des victoires continues et non pas simplement améliorer temporairement la performance.
Il a conclu en disant : "Les clubs de la ligue irakienne ont besoin d'une stratégie claire lors du recrutement de tout entraîneur étranger, afin de garantir que les investissements soient placés au bon endroit et que les résultats soient tangibles sur le terrain et non simplement un grand nom sur le papier".
Mazhar a déclaré dans une interview dans le programme Temps additionnel : "Le recrutement d'un entraîneur étranger nécessite une étude complète. Il ne suffit pas que le nom soit connu ou ait une réputation à l'étranger, car la réalité dans la Ligue irakienne est complètement différente, et de nombreux facteurs influencent le succès ou l'échec de l'entraîneur, tels que la nature des joueurs, la gestion du club, et les conditions financières et techniques".
Il a ajouté : "Parfois, l'entraîneur étranger arrive et trouve un environnement qui ne l'aide pas à travailler, et par conséquent, il ne réalisera pas les résultats escomptés, ce qui peut avoir un impact négatif sur l'équipe et le championnat dans son ensemble. C'est pourquoi les clubs doivent être prudents et choisir leur entraîneur en fonction des exigences de la ligue et des conditions locales".
Mazhar a poursuivi : "Nous avons des exemples précédents dans la ligue où de grands noms ont changé, mais la performance ne s'est pas améliorée, car cela est lié à l'organisation et à la stabilité technique au sein de l'équipe, et pas seulement au nom brillant sur le papier".
L'analyste a confirmé que le succès de toute équipe dépend de l'équilibre entre l'expérience étrangère et la gestion locale, soulignant que le choix de l'entraîneur approprié doit tenir compte de la capacité à travailler avec des joueurs irakiens, à comprendre la nature de la ligue, tout en mettant en place des plans clairs pour obtenir des victoires continues et non pas simplement améliorer temporairement la performance.
Il a conclu en disant : "Les clubs de la ligue irakienne ont besoin d'une stratégie claire lors du recrutement de tout entraîneur étranger, afin de garantir que les investissements soient placés au bon endroit et que les résultats soient tangibles sur le terrain et non simplement un grand nom sur le papier".