
Shakir Al-Jabouri : Je ne reviendrai pas à Al-Zawraa même si nous gagnons l'affaire
Dans des déclarations fortes et directes, Shakir Al-Jabouri, ancien membre de la direction du club Al-Zawraa, a parlé de la situation administrative actuelle du club, révélant des détails précis concernant l'affaire portée devant le Tribunal arbitral du sport, ainsi que son avis sur l'avenir d'Al-Zawraa et le rôle joué par le Dr Falah Hassan à ce stade.
Al-Jabouri a déclaré : "Falah Hassan est le meilleur président de club en Irak depuis 2003, c'est un grand nom et son histoire est connue, et ce qu'il fait actuellement pour corriger la situation du club est à son crédit."
Malgré son optimisme concernant la situation juridique, Al-Jabouri a affirmé catégoriquement qu'il ne prévoit pas de revenir au travail administratif à Al-Zawraa.
Il a dit : "Je ne reviendrai pas travailler à Al-Zawraa même si nous gagnons l'affaire au Tribunal du sport, car nous avons donné au club plus que ce qu'il nous a donné, et j'avais vendu un terrain et dépensé de mon propre argent pour l'équipe."
En ce qui concerne les développements de l'affaire, Al-Jabouri a précisé que l'avocat chargé de l'affaire leur avait informés qu'il y avait une "grande probabilité" de gagner l'appel devant le Tribunal arbitral, soulignant que cette voie judiciaire représente une étape pour récupérer ce qu'il a appelé le "droit administratif", mais il a également insisté sur le fait qu'il ne reviendrait pas au travail même en cas de victoire juridique.
Al-Jabouri a ajouté : "Le Premier ministre Mohammed Shia al-Sudani a demandé à Falah Hassan de diriger le comité temporaire, en raison du respect et de la confiance qu'il a au niveau sportif et gouvernemental."
En conclusion de son discours, il a révélé qu'il y avait eu des interventions politiques qui avaient été décisives dans la décision de dissoudre la direction d'Al-Zawraa, en précisant : "Il y avait des pressions politiques claires sur le Comité olympique irakien pour prendre la décision de dissoudre la direction, malgré le travail et les efforts que nous avons fournis pour le club dans des conditions complexes."
Al-Jabouri a déclaré : "Falah Hassan est le meilleur président de club en Irak depuis 2003, c'est un grand nom et son histoire est connue, et ce qu'il fait actuellement pour corriger la situation du club est à son crédit."
Malgré son optimisme concernant la situation juridique, Al-Jabouri a affirmé catégoriquement qu'il ne prévoit pas de revenir au travail administratif à Al-Zawraa.
Il a dit : "Je ne reviendrai pas travailler à Al-Zawraa même si nous gagnons l'affaire au Tribunal du sport, car nous avons donné au club plus que ce qu'il nous a donné, et j'avais vendu un terrain et dépensé de mon propre argent pour l'équipe."
En ce qui concerne les développements de l'affaire, Al-Jabouri a précisé que l'avocat chargé de l'affaire leur avait informés qu'il y avait une "grande probabilité" de gagner l'appel devant le Tribunal arbitral, soulignant que cette voie judiciaire représente une étape pour récupérer ce qu'il a appelé le "droit administratif", mais il a également insisté sur le fait qu'il ne reviendrait pas au travail même en cas de victoire juridique.
Al-Jabouri a ajouté : "Le Premier ministre Mohammed Shia al-Sudani a demandé à Falah Hassan de diriger le comité temporaire, en raison du respect et de la confiance qu'il a au niveau sportif et gouvernemental."
En conclusion de son discours, il a révélé qu'il y avait eu des interventions politiques qui avaient été décisives dans la décision de dissoudre la direction d'Al-Zawraa, en précisant : "Il y avait des pressions politiques claires sur le Comité olympique irakien pour prendre la décision de dissoudre la direction, malgré le travail et les efforts que nous avons fournis pour le club dans des conditions complexes."