Le défenseur de l'équipe nationale irakienne Ribin Soulaka sort de son silence pour répondre pour la première fois aux attaques médiatiques qu'il a subies ces derniers jours, affirmant son intention de prendre des mesures juridiques contre un journaliste qui l'a accusé de manière immorale et a terni sa réputation en tant que joueur et en tant qu'homme.

Dans une interview avec le site "Les Professionnels", Soulaka a souligné son respect pour la critique sportive et l'acceptation des opinions différentes sur son niveau sur le terrain, mais il a fermement rejeté toute intrusion dans sa vie personnelle ou toute accusation portant atteinte à sa réputation sans preuve ni crédibilité.

Il a déclaré : "Je vais intenter une action en justice contre un journaliste qui a terni ma réputation de manière immorale, et je ne resterai pas silencieux à ce sujet, car cela dépasse les limites de la critique sportive."

Il a ajouté : "Tout le monde peut critiquer mon niveau technique et donner son avis de quelque manière que ce soit, même si vous pensez que je suis le pire joueur de l'histoire de l'Irak, cela ne me dérange pas, mais ne m'accusez pas de choses qui nuisent à ma réputation en tant qu'homme."

Il a poursuivi : "Pour la première fois de ma vie, je réponds à une insulte, car j'ai toujours cru que la critique fait partie de mon travail en tant que footballeur, mais cette fois est différente, car il s'agit d'une insulte personnelle et d'une diffamation sans aucune preuve."

Il a complété : "L'excès médiatique dans certaines chaînes a atteint un niveau inacceptable, et cela a un impact psychologique sur les joueurs, et cela pourrait amener certains d'entre eux à renoncer à représenter les équipes nationales à l'avenir si ces comportements ne sont pas arrêtés."

Ces déclarations interviennent à un moment où la scène sportive irakienne est en proie à des controverses en raison de certaines émissions sportives qui ont dépassé les limites de la critique constructive, incitant de nombreux joueurs à demander des règles plus claires pour protéger leurs droits et garantir un environnement sain pour l'interaction médiatique.